POUR COMMENCER AVEZ-VOUS VOTRE EXTRAIT DE CASIER JUDICIAIRE
le 14/05/1998 à 08h15 - Las Vegas a voulu atteindre à la vie de son beau-père en mettant le feu à la voiture de ce dernier après l'avoir induite d'essence. 3 mois passés dans un asile psychiatrique.
le 06/08/2000 à 15h25 - Las Vegas vol à main armé dans un des casino de la ville avec deux autres filles. 2 ans de prison, relâchée au bout de 7 mois pour bonne conduite, et en compensation elle dût travailler pour le casino
le 14/11/2009 à 01h48 - Las Vegas prostitution sur la voie publique. aucune elle est partie avant ...
TRÈS BIEN. SAVEZ-VOUS POURQUOI VOUS ÊTES LA ?
Je souris, car par la force des choses, la questions que ce cher inconnu était fort paradoxale n'est-il pas. Après tout, si j'étais ici c'était bien parce qu'il m'avait demandé de venir. J'aurais tout aussi bien pu me trouver ailleurs, comme dans mon appartement miteux au nord de la ville par exemple, avec mon chien - un magnifique berger allemand offert pas mon cher papa -, ou au club en train de m'entrainer pour les nouvelles chorégraphies, ou pour entrainer les nouvelles recrues. Ou alors, j'aurais pu être dans un hôtel cinq étoiles avec un homme blindés aux as qui ne m'aurait demandé que de lui donner le plus de plaisir possible. Mais il avait fallut que je vienne dans ce petit bureau exiguë pour répondre aux questions obtuse de ce psychologue cinglé. Peut-être ne pensait-il pas l'être, mais de mon point de vue, il fallait être franchement dérangé pour accepter d'écouter les autres parler de leurs problèmes. Je compatissais, ce ne devait pas être un boulot facile. En somme, il était proche de celui que je faisais moi même. Après tout, il ne fallait pas croire qu'être pute, ou stripteaseuse signifiait être stupide ou niaise. Point du tout, et je pouvais même annoncer être forte intelligente. Il fallait savoir interpréter chaque geste, chaque mouvement du client pour comprendre ce qu'il attendait de vous. J'étais plutôt douée à ce jeu là, ou sinon je ne ferais plus ce job depuis aussi longtemps. Néanmoins j'avais une petite chance en plus par rapport à ce pauvre psy. Mes clients appréciaient ce que je leur faisait. Personnellement je n'avais aucune envie de dire quoi que ce soit à ce monsieur, mais il le fallait bien. Après tout, c'était un passage obligé si je voulais avoir la possibilité de continuer à vivre. Je soupirais donc, résigner, mais ne me détapissait pas de mon sourire, qui à mon sens rendait l'atmosphère moins solennelle. Je ne savais pas vraiment comment répondre pour ne pas froisser ou terrifier le pauvre homme. Il devait en avoir connu des pires, mais tout de même je ne pensais pas à mal. Je m'en voudrais si soudainement son rythme cardiale venait a accélérer, et son coeur a lâcher. Surtout que je n'aurais plus mon autorisation de sortit. Ce qui deviendrait gênant. Je décidais ainsi de répondre de façon la plus détachée possible.
ABBY « oui monsieur, si je suis ici c'est parce qu'il y a 12 ans j'ai voulu mettre le feu à mon enflure de beau père.
Si il fut choqué de ma réponse il n'en laissa rien transparaitre, ou alors c'est parce que de mon côté ce souvenir me faisait tant jubilais que j'en oubliais le monde autour que je ne le remarquais pas. En effet, lorsque j'avais 13 ans, le putain de mari de ma mère avait bien failli la tuer sous ses coups. Et cette fois fut bien la dernière où j'écoutais sans rien faire les cris et les pleurs de ma génitrice. Alors, sans vraiment en avoir conscience, j'avais pris le tonneau d'essence qui se trouvait toujours dans le garage, et je l'avais jeté dans la voiture de ce salopard avant d'y lancer une allumette enflammée. Et quel merveilleux spectacle que celui du corps de cet homme, se débattant avec les flammes pour survivre. SI il avait cru être le plus fort il s'était largement trompé. Et j'avais mis toutes ses certitudes à mal rien qu'en un quart de seconde. J'en étais fière aujourd'hui encore, mais en un sens, je m'en voulais de mettre mise dans une situation aussi difficile avec la justice. De plus, je regrettais une chose aussi : c'est que ce jour - là, les coups que ce mec avait donné à ma mère avait fini par tuer l'enfant qu'elle portait en son ventre. En y repensant je sentis une vague de tristesse m'envahir, et je sortis le paquet de clopes qui trainait dans ma poche pour en sortir une que je levais à mes lèvres. Le psy me regardait sans rien dire et je pris ce silence pour une approbation. J'allumais donc la cigarette et en inhaler la douce fumée.
POUVEZ-VOUS ME DÉCRIRE VOTRE PLUS GRANDE PEUR ..
Je ne m'attendais pas vraiment à cette question que je trouvais fort déplacée. Je fronçais les sourcils et m'enfonçais un peu plus dans mon siège, tout en exaltant un peu de fumée. Je ne dis rien pendant un long moment, me posant moi-même la question. Il y avait bien des choses qui m'effrayaient en ce monde. La mort, la maladie, la faim, la peur, les drogues, le coma, les souris, les violeurs. Je n'étais pas suicidaire, et même plus, j'étais une femme tout à fait normale - selon moi - qui avait ses vices et ses peurs. Mon instincts me dictait souvent de fuir, et même si je ne l'avais pas toujours écouté, je savais néanmoins où se situaient mes limites. C'était en somme le plus important, tout du moins de mon point de vue, et je ne doutais pas un seul instant que ce ne fut pas ce que me demandait ee brave type. Je réfléchissais donc, qu'est-ce qui m'effrayait le plus en ce monde. Je me souvins de ce client, qui totalement obsédé par mon corps avait fini par me suivre partout jour et nuit. Mais loin de me terrifier, j'étais persuadée qu'il ne souhaitait pas me faire de mal, juste que je lui confère un peu plus de plaisir. Je repensais à mon beau-père bien sur, mais cette ordure était depuis longtemps passé du rang de ennemi, à cauchemar. Je ne l'avais d'ailleurs jamais revu depuis l'incident. Je me souvins de mon seul petit ami officiel. Jason. Et une boule d'émotion me prit la gorge. J'avais cru à un conte de fée, au bout du compte il n'avais pas aimé apprendre ce que je faisais pour gagner ma vie et m'avais tout simplement quittée. J'étais rentré à trois heures du matin pour trouver mon appartement vide de ses affaires. J'en avais pleuré durant des mois. Jusqu'à ce que mon grand frère drogué et flambé vienne jusqu'à Las Vegas pour me remettre les idées en ordre. Je l'adorais mon grand frère, sans lui je ne serais plus grand chose aujourd'hui. Aussi j'avais du mal à me décider sur ma plus grande peur, mais je devais bien répondre à la question du docteur je le fis donc non sans une certains résignation :
ABBY « Vous savez je crois que ce qui me fait le plus flipper c'est ... La nature humaine. On ne sait jamais vraiment comment un homme va réagir, ce qu'il va faire. J'ai la chance d'être une source de plaisir pour eux, mais je redoute le moment ou je ne serais plus qu'un problème a éliminer ...
Et il est vrai que je n'étais pas le genre de fille à me lamenter sur mon sort, ou à être paranoïaque, mais les hommes me faisaient peur. Ce devait être une sorte de réponse à mon enfance traumatisée. Mais en y réfléchissant mon modèle paternel était plutôt bon. Après avoir passé trois mois dans un hôpital psychiatrique, je ne suis pas retournée chez ma mère, trop dangereux selon les docteurs, alors ce fut mon père qui m'accueillit, ainsi que mon grand frère. Ils étaient les hommes de ma vie, et je les aimais plus que tout au monde. Ils représentaient pour moi une sorte d'idéal masculin que je recherchais chez mes potentiels petits amis, mais aucun des hommes parfaits que j'avais pu rencontrer n'avaient été près à sortir avec une pute.
HUM HUM ... INTÉRESSANT. ET DANS 10 ANS, OU VOUS VOYEZ-VOUS ?
Soudainement je perdis mon air ternit par l'inquiétude, et mes pensés obscures, et je ne pus contenir un petit rire enfantin que je ne me connaissais pas. Dans 1O ans ? L'avenir était si incertain que je pouvais tout simplement me laisser aller à rêver à un meilleur avenir. Pour commencer, dés que je sortirais de ce bureau je prendre ma vieille voiture et roulerait jusqu'à la sortie de la ville de Las Vegas où se terminera alors ma vie d'avant. J'étais décidée à présent de ne plus me laisser prendre par les magouilles en tout genre, ou alors si, puisqu'il fallait bien vivre dangereusement pour se sentir vivant. Mais rien qui ne me mette dans une situation délicate. J'avais tout de même envie de profiter de ma vie un maximum. Je ne pouvais pas vraiment m'imaginer vieille fille, mais tout de même, pourquoi pas maman après tout ? Je savais que je pourrais être une bonne mère, ces choses là ca se sent. Et je m'étais promis que je donnerais tout ce que j'avais à mes enfants. Mon temps, mon amour, ma passion. Mais je n'arrêterais pas mon métier pour autant. J'aimais bien trop danser et baiser. J'étais en quelque sorte née pour cela comme d'autre étaient né pour être avocat ou peintre. Je sentais au plus profond de moi que ma vie devait être ainsi faite. Mais je ne pouvais m'empêcher de rêver tout de même, comme tous les hommes de cette terre. Mon utopie en était réellement une, je le savais, néanmoins, pourquoi me priver de ces pensés si frivoles ?
ABBY « Dans 1O ans, je serais une mère de famille mariée, avec deux enfants à un homme possessif et fort qui m'aimera plus que tout au monde. Et nous aurons une grande maison, avec une piscine et un chien. Ou alors je serais déjà six pied sous terre.
Finis-je en rigolant quelque peu. Ce qui me semblait plus probable d'ailleurs si on y réfléchissait bien. Je devais connaitre tous les mâles de LV et aucun n'avaient convenu de faire de moi la femme de sa vie. Je partais donc, ailleurs voir si l'herbe était plus verte. Mon grand frère vivait à Clifton c'est là-bas que je me rendais, avec l'étrange impression que j'allais m'y plaire. Je voulais m'élever dans cette société cruelle. J'étais quelqu'un de débrouillard, et je m'imaginais assez bien que les clients seront nombreux dans le coin. J'avais hâte soudainement de commencer ma nouvelle vie. J'entendis mon chien aboyer d'impatience derrière la porte, dans la salle d'attente, et posant un regard interrogateur sur le psy je le vis remplir des papiers avec un léger sourire aux lèvres. Je me sentis soudainement légère, ayant l'impression que ma liberté n'était pas loin. Tout comme mon avenir d'ailleurs ...
»surnom de geek ; Miss . F »âge ; 16 ans »présence sur pom ; 3 / 7 »comment as-tu connus pom ; prd »avatar choisi ; Scarlett Johansson »t'as quelque chose à dire mec ; rien mec !
Spoiler:
William n'avait pas la prétention de croire que les gens ne pouvaient pas en un seul coup d'oeil tout apprendre de lui. Le connaitre, tout de moins admettre savoir qui il était semblait facile, chaque jour il s'évertuait à ce que cela le soit en outre, et il était plutôt satisfait du résultat. En fait, il avait en quelque sorte choisi d'être ainsi, dans une envie de détruire tout ce que ses parents avaient voulu, ou aurait voulu, qu'il soit. Sa mère avait toujours eu une sorte d'idéalisation de son seul fils. Pour Lily-rose c'était différent, la petite fille avait été plus qu'aimée de ses parents même si ceux-ci étaient tout le temps absent au grand damne de son frère qui s'occupait d'elle alors. Mais avec William ils n'avaient rien de vraiment aimant. Ils avaient tout deux espéré que leur fils devienne un grand patron, un avocat connu, voir même un chef d'entreprise. Ils auraient voulu qu'il gagne de l'argent, qu'il se trouve une femme bien avec qui il aurait eu des enfants, et pas qu'un selon l'envie de sa mère. Elle voulait des petits enfants, même si William savait que cette lubie ne pouvait qu'être passagère. A part le travail d'architecte qu'elle avait rien n'intéressait sa génitrice. C'était ainsi, et il le savait depuis longtempts. En outre, elle avait tâché de lui inculquer les valeurs de l'argent et l'importance que cela avait. Le respect des femmes aussi, elle aurait voulu qu'il soit un charmant jeune homme qui respectait et aimait les femmes pour ce qu'elles fuent pas pour ce qu'elles savaient faire au plumard. Raté en somme, William était pour le moment plus profiteur du sexe que des beaux discours partagés avec une femme aimée. Il ne les aimait pas d'ailleurs, ou alors trop, et ne pouvait en choisir une seule qui puisse être considérée comme exceptionnelle et faite pour lui. Il trouvait cela stupide que l'on puisse penser ainsi. Toutes les femmes méritaient d'être aimer. Différemment certes, elles ne demandaient pas toutes les mêmes attentes, mais il ne pouvait refuser de complaire aux désirs de celles qui partageaient les siennes.
Donc, charmeur il devait probablement l'être, et cela lui avait demandé pas mal de temps pour entrer complètement dans le personnage. Il était complexe de jouer constamment quelqu'un de si insensible. Il n'était pas un monstre, et lorsqu'une fille sortait de son lit en pleurant il ne pouvait que s'en sentir honteux, bien qu'il ne le montra pas de peur de donner raisons aux pensés folles de sa mère. L'amour et la fidélité étaient deux choses totalement stupides, cela devait rester ainsi si il voulait que sa vie soit aussi réussit qu'il le désirait. Il sourit à cette pensé, et songea bien tôt qu'il avait réussit ce paris insensé de se perdre lui-même au profit d'un autre. Ainsi donc il était tout aussi charmeur qu'il était beau parleur, il avait beaucoup lu, c'était sans dire, et la littérature était sa seconde passion après le dessin. La poésie sans doute, tout autant que l'aventure, la science fiction, le romantisme, ou le suréalisme. Il lisait de tout même si certaines pensés lui échappaient encore. Il n'avait pas le temps de tout comprendre en fait, et parfois s'extasiait simplement devant la profondeur des mots. La beauté des assonances, ou la subtilité des comparaisons. Qu'il aurait aimé avoir ce talent d'écrivain, comme il l'avait pour le dessin. Cependant il lui sembla plus impressionnant de pouvoir donner vie à un dessin que d'émouvoir par l'écrit. A moins qu'il ne se trompa. Après tout c'était aussi plus dangereux. En somme, cette littérature qui l'entourait lui avait aussi donné l'imagination nécessaire à son art, et il n'était pas rare qu'il ne tente de dessinais ce qu'il lisait, bien que cela ne prenne pas vie sous la rudesse des traits et leur grossièreté. Mais enfin, c'était de là que venu le respect et la beauté de ses paroles. Ses manières envers les femmes, qu'il appréciait en son être. Bien qu'il aima plus les femmes pour leurs formes que pour leur discours, il les respectait quand même, c'était des êtres humains après tout, il leurs devait bien cela.
Et c'était pour ce comportement que sa soeur le blâmait. Lily l'adorait à n'en pas douter, c'était d'ailleurs un sentiment partagé, mais il était si loin de son idéal que la jeune fille se sentait parfois frustrée, et cela expliquait ces bestioles qu'elle lui envoyait, comme ce paresseux effrayant. William ne pouvait que détester la bestiole, car outre le fait qu'elle ne soit là que pour lui pourrir la vie, c'était aussi une sorte de vengeance de la part de Lily-Rose. Il n'aimait pas les paresseux, elle le savait pertinemment. Il les trouvait plus qu'effrayant depuis qu'ils avaient regardé ensemble l'âge de glace. William ne s'en était jamais véritablement remis, et avait refusé de regarder le seconde puis le troisième volet de la série. Non, jamais plus il ne souhaiterait voir cette chose marcher sur l'écran. Le paresseux Cid était en fait une bonne excuse pour amuser les enfants. Il était ignoble, et plus encore, c'était un véritable monstre qui restait encré dans la partie 'frayeur' du cerveau du jeune homme. Il ne s'en remettra jamais, et sa soeur connaissait sa phobie pour lui. Le paresseux qui le suivait depuis le matin lui rappelait le dessin animé, et c'est pour cela qu'il était sur les nerfs. Le regardant partir il se dit, se promit, de dessiner un chat pour le manger. Ou un tigre aux dents de sabres. Il préférait en somme tenter de changer de sujet pour ne pas se laisser emporter par l'enthousiasme de cette somptueuse idée.
- Je te tutoyais déjà alors bon. Mais oui, je suis de Disney, en deuxième année. Et toi, si je ne me trompe pas tu es chez les Comic’s c’est ça ? J’imagine que c’est tes pouvoirs te fils de directeur qui t’ont dit avec qui j’étais…à moins que tu possèdes un esprit de déduction plutôt développé.
Il ne put réprimer son sourire amusé, bien qu'il n'est en général pas l'habitude d'apprécier aussi vite une personne, il se rendit bien vite compte que dés lors il ne jouait plus le chef des Comics Fan, souhaitant souhaiter la bienvenue aux nouveaux élèves comme le voulait la tradition. Il était William Bloom, une simple garçon passionné qui tâchait de se faire accepter du monde. Un peu mélodramatique tout ca. Il fut agréablement surpris de constater qu'en plus d'être jolie, la demoiselle devait avoir un esprit vif et concis. Certes il n'aurait pas deviné qu'elle faisait parti des Disney'Fan, la mettant plutôt dans les Pixariens, ou comme une simple élève qui se fichait de participer aux clubs de cette école.
- J'en suis même le leader, Demoiselle. Et l'on a jamais eu rien à redire à mon esprit de déduction, rajouta-t-il avec un clin d'oeil. Cependant je ne cacherais pas que je n'aurais pas su deviner seul à quel groupe tu appartenais.
Elle eut un éclat de rire, et lui la regarda comme si soudainement un troisième oeil lui avait poussé sur la tête.
-Tu fréquentes des gens sympathiques toi ! Ta sœur t’envoie souvent des messagers du bonheur comme celui-là ?
Il sourit, et hésita un court instant à lui répondre. Que dire réellement pour ne pas se ridiculiser, lui avouait qu'il flippait face à ces bestioles ? Que c'était une manière que sa soeur avait trouvé pour lui foutre les chocottes ? Assurément pas, malgré tout il décida qu'il se fichait qu'elle fut au courant ou non, puisque de tout façon ils n'appartenaient pas vraiment au même monde, il y eut peu de chance pour qu'elle le rejette ou qu'il ne puisse plus la mettre dans son lit après - ce qu'il ne souhaitait guère, il avait pour principe de ne pas approcher ces petites princesses là -.
- Je le trouve plus effrayant que sympathique personnellement. Mais ma soeur semble penser que cela me permettra de me remettre sur le chemin de la droiture et de la fidélité ... Je dois avouer qu'elle a particulièrement bien réussi son coup aujourd'hui. Finit-il par dire avec un sourire, puis feignant le sérieux. Promets moi que jamais tu ne feras de dessin aussi ... alarmant ...
Dernière édition par Abby J. Shadow le 1/31/2010, 21:20, édité 5 fois
Merci tout le monde ! Dis donc qu'est-ce que vous êtes accueillants ici XD J'aime Je pense avoir terminé ma fiche, si quelque chose ne va pas dites le moi ! 8D
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Officiellement bienvenue ! Ta fiche a été lue et tu es désormais des nôtres ! Voilà ce qui a été dit en résumé :
Citation :
Tu nous as bien eu ^^ On adore ce personnage, une bonne imagination, une fluidité et une bonne orthographe dans l'ensemble ... Tu l'as bien compris, amuse toi bien parmi nous ^^
N'oublies pas d'aller te créer, ici, tout ce dont tu as besoin. Tu peux aussi aller jeter un coup d'œil dans la galerie si tu recherches un avatar, ou même passer commande pour en avoir un personnalisé. N'hésites pas non plus à venir flooder et créer plein de nouveaux jeux.
Encore une fois bienvenue à POM
bon rp
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