DÉCLINEZ VOTRE IDENTITÉ

© alex

.SARAH LOU HOPKINS. aka Loulou & Cupcake (réservé). On the Road. Compositeur-Interprète. Les mots. Française&Américaine. 25 décembre 1988. Paris, France. Célibataire endurcie. 1.55 | 50 kilos Ses mèches roses et ses nombreux tatouages.

VOUS EN QUELQUES MOTS

RÊVEUSE Lunatique FRANCHE Bornée JOUEUSE

Indépendante NARQUOISE Compréhensive RANCUNIÈRE Passionnée

ARTISTIQUE Non ponctuel ÉNERGIQUE Effrontée DÉTERMINÉE

POUR COMMENCER AVEZ-VOUS VOTRE EXTRAIT DE CASIER JUDICIAIRE

Vierge.

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  peine encourue.
  
  
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CHER JOURNAL ..

Les racines. Paris. Je me souviens encore des lumières et des odeurs de la ville. Les voitures et les marchés exotiques. Je me souviens de son visage, de sa voix. Chaque nuit je priais mon ange gardien avec elle. Celui qui veille au paradis, celui qui est sensé nous protéger de tout danger. Dès lors, j'aimais la musique. C'était une véritable passion. Ma mère était une simple serveuse, j'avais un petit piano d'appartement et une guitare bon marché. Il y avait aussi Tommy, mon grand frère. Maman disait que mon père n'était pas le sien. Lui était français, moi j'avais d'autre racine. Était-ce pour cela que j'étais si différente.? Si petite et si, blonde. Chaque jour, toute la journée, je jouais. Ma guitare et mon piano étaient mes seuls véritables amis. Même lorsque j'ai commencé l'école, je ne pensais qu'à ça. Pourquoi jouer avec des cubes quand on peut s'adonner à l'art de la musique.? Alors, je me suis mise à chanter. Je chantais sans cesse, même à l'heure de la sieste. Les professeurs me trouvait turbulente, mais je n'étais pas une mauvaise élève. Tout a changé un beau matin. J'ai croisé le regard de ma mère et j'ai compris que quelque chose n'allait pas. Sa peau était devenue si pâle et ses cheveux si fins. Tommy était devenu méchant avec moi, ma mère pleurait tout le temps et je n'arrivais pas à la consoler. Elle était malade. Ma mère, madame Incroyable en personne! Celle qui me confectionnait une robe avec un rideau et qui trouvait une solution à tous les maux de la terre. Elle est morte très rapidement, si vite que je n'ai pas eu le temps de l'apprécier. Après tout est devenu difficile. Mon frère avait changé. Il ne chantait plus de chanson et il ne jouait plus aux cartes avec moi. Nous avons fait le tour des relations que nous avions au pays en très peu de temps. Une grand-mère et deux tantes, toutes les trois inaptes à la corvée qu'était deux enfants, deux autres pour certaines d'entre elle. Puis un jour, une femme et un homme sont venus nous chercher et j'ai posé les yeux sur un vrai avion pour la première fois de ma vie. À six ans c'est très impressionnant. Suffisamment pour que je ne porte aucune attention aux larmes qui ruisselaient sur les joues de Tommy. Nous quittions la France, à jamais.

Le père. Lorsque je suis arrivés en Amérique, j'ai découvert qui était mon père. C'était un homme sérieux aux traits sévères qui ne vivait que pour son travail. Il avait été récemment en France durant ses voyages et n'avait même pas pris la peine de venir me voir. Puis, une nouvelle métamorphose de Tommy. Je n'avais pas réalisé jusqu'à ce que la Aston Martin se gare dans l'allée de la maison. Durant si longtemps on avait été privés de tout alors que lui avait le monde à ses pieds. La Californie, quoi de mieux pour une artiste en herbe! J'avais du talent et mon frère le travail de me surveiller. Il avait un bon argent de poche et en échange, il me conduisait à mes cours du soir et il me prenait en charge le soir. John était pour ainsi dire; Constament absent. Un fantôme qui venait quelquefois par semaine. Il voulait que je pousse ma musique dans le classique et que j'apprenne la danse. Plus le temps passait et moins il avait d'impacte dans nos vies. À onze ans, j'étais totalement autonome de mon frère. Il avait pris l'image de l''homme de la maison et veillait à tout. Il n'en avait que treize mais l'argent permettait de payer ce qu'on ne pouvait produire. Mon frère découvrit la drogue, moi je découvrais le lycée. Il était curieusement protecteur à cette époque. Tant de choses qu'il me disait sur les hommes, je commençais à croire qu'ils étaient une cause perdue. De toute façon, aucun d'eux n'avait le droit de m'approcher. Tommy faisait de la boxe, "Casser la gueule aux sales cons.". Pourtant, c'est lui qui m'apporta la plus grande tentation. Non pas de sa personne, mais de ses contacts. Il avait beaucoup de copines, de potes aussi, mais il en avait un en particulier. Toute celle qui ont un grand frère l'on ressentit. Ce moment lorsque le coeur de l'enfant déchire et qu'il libère la jeune fille. C'était le coup-de-foudre instantané. J'étais tombée amoureuse de ses yeux. Un simple regard et il avait tout changer.

L'amour. C'est un sentiment indescriptible. Il venait presque chaque jour s'écraser sur le canapé avec mon frère pour fumée leur "cigarette". À croire qu'ils me prenaient pour une débile profonde. Mais je ne disais rien, je contemplais l'interdit. Il n'était pas de mon âge et, malheur pour moi, il était très convoité par ses camarades de classe féminine. C'était un moment de grandes inspirations dans ma vie. C'est lui qui m'a donné la flamme ardente qu'il me fallait pour écrire. Je rêvais de lui la nuit, je chantais mon amour le jour venu. Il était partout; dans la maison, dans mes songes et sur chaque page de mon agenda. Mes amies sortaient avec des garçons, mais je m'en moquais éperdument. Ils étaient jeunes, idiots et médiocres. Lui, il était beau, fort et rebelle jusqu'à la moelle. Certains soirs mon frère organisait des petites fêtes, j'avais le droit d'être présente à condition que je ne dise rien et que je ne consomme pas une goutte , ou toute autre chose qu'on pourrait m'offrir. Je restais dans mon coin et je le regardais. C'était flagrant, nul doute qu'il le savait très bien mais qu'il m'ignorait. Il n'y avait que mon frère qui ne voyait rien, peut-être parce qu'à treize ans il ne se préoccupait plus de moi. Il n'y avait que les garçons pour me nuire et que je n'en fréquentais aucun, il pouvait donc se consacrer pleinement à sa propre vie. J'ai eu enfin ma chance cette année là, enfin si l'on puits dire. Il était dans un état avancé, ses joues rougit par l'alcool et le regard embuer par la fumée. Pas besoin de vous dire que j'en ai profité à fond. Il est atterrit dans ma chambre par le plus grand des hasards... Je vous jure!. Il n'a suffis que d'un relèvement de nez de ma part pour qu'il me prenne en chasse comme le fier lion qu'il était. Je n'ai eu droit qu'à ses lèvres et sa douce main, mais ça me suffisait pleinement. Il a été interrompu dans son élan et ensuite il a disparu, tout simplement. Durant des jours j'étais torturée par son absence, c'était atroce. Puis, enfin, par un chaud après-midi pluvieux, il m'est revenu.

Le départ. Je l'ai agacer et il est venu à moi. C'est drôle comme les choses ne ce passe jamais comme on l'espère. Encore une nouvelle tentation déchirante et un nouveau départ. Quand Tommy m'a appris qu'il avait été enfermé pour vol de voiture, c'était la plus difficile retenu de ma vie. Je n'avais pas le droit de le pleurer, ni de demander le réconfort. Je n'avais tout simplement pas le droit de l'aimer Lui. Six longs mois, j'ai cru que ça ne se terminerait jamais. Le temps semble s'arrêter lorsqu'on attend quelque chose, mais l'arrivée était bien pire. Sa famille le renvoyait et donc, il ne serait plus mon gentil voisin. Le meilleur ami de mon frère. Il avait à nouveau subtilement éviter le regard de mon frère pour me rejoindre, mais cette fois ce n'était pas pour des câlins. Il venait me prévenir de son départ. Il partait quelque part près du Nevada. Clifton. Je ne sais pas si je pleurais avant ou après l'avoir enlacé, mais c'était l'étreinte la plus éprouvante que j'ai eut. Je me souviens de ses lèvres qui me soufflaient combien il m'aimait. Quant à moi, je lui promettais de ne jamais l'oublier, ce que je fis. Il est parti si vite et avec une telle facilitée, j'en étais détruite. Ensuite je suis devenue sombre, renfermé. Mon frère c'est bien évidemment douter de quelque chose. Je l'avais bourré en lui racontant qu'un garçon de ma classe dont j'étais amoureuse m'avait envoyé sur les roses, ça marché! Il passait ses soirées devant le téléviseur avec moi, c'était l'endroit qui me rappelait plus à lui. La fumée aussi, cette étrange odeur qui l'avait si souvent imprégner sur ses vêtements. Mais pas question d'y toucher, il serait si déçu de ma personne. Aucune adresse, aucun numéro. Il était un fantôme dans ma vie, un spectre que je laissais détruire peu à peu mon âme. Chaque jour, ma promesse était plus difficile à tenir et à croire, mais je m'accrochais. Je n'en désirais pas d'autre que lui. Pendant si longtemps je suis restée figer dans le temps. J'écrivais chaque jour. Ma peine, ma colère. Ce qui avait été et ce qui aurait dû être.

Le deuil. Dix-huit ans maintenant. J'étais heureuse de quitter la maison, mais j'abandonnais aussi le seul lieu où il pourrait me retrouver. Mais la musique avait envahie ma vie et à Sacramento, ce ne sont pas les occasions qui manquent. Alors, je parti donc avec ce type, Brian. Gentil et passionné tout autant que moi, il fondait un espoir en mon talent. Il était persuadé qu'avec un peu d'acharnement, je réussirais. Comment ai-je quitter le nid aussi facilement.? Facile, Tommy avait disparu. Environ deux mois après le départ de son meilleur ami, mon ange. Je crois que c'est ce qui ma permis de vivre mon deuil aussi aisément. Personne ne me réprimandait parce que j'étais lasse de tout et gourmande à en être malade. Brian à tout changer. Je ne l'aimais pas, enfin pas comme lui l'aurait voulu, mais il m'apaisait. Il me dégotait tant de prestation que je n'avais pas le temps d'agoniser mon malheur. Je me déchaînais sur scène, mais ça ne donnait rien. Les gens m'écoutaient à moitié et aucun producteurs ne fréquentait les petits clubs où je performais. On était toujours sur la route, entassé dans cette petite camionnette. Avec le temps, j'ai rencontré des musiciens, les miens à présent. Je n'étais toujours pas reconnue, mais les gens nous aimaient bien. Bars, boites de nuit et festivals, on jouaient partout ou ça nous était possible. On ne vivait pas la grande vie, mais c'était le summum de ce qu'une bande de jeune pouvait espérer. Le problème, c'est que dès que je me retrouvais seule, il était là. Il me hantait dans tout ce que j'entreprenais. Je crois que c'est pour ça que j'ai réagi aussi violemment au baiser de Brian. Ensuite il est parti, lui aussi. Comment peut-on s'attendre à de l'amour de ma part.? Je lui avait dit, et je le répète encore. Je lui suis tout dévouée et ce à jamais.

Clifton. Vingt et un an et toutes mes dents. J'étais seule depuis maintenant deux semaines et tout allait de mal en pire. Je n'avais pas de contrat, pas d'emploi. J'ai même été forcer d'appeler mon père pour qu'il m'envoie un peu de fric. La honte! C'est dans une gare de bus de la Pennsylvanie que je trouvais enfin le salue de mon âme. Assise contre le banc, je soupirais lassement avant de me redresser lentement. Mon dos entier craquait sous la fatigue et mes pieds brûlaient de douleur. Puis, je posais mon regard azur sur le panneau de contrôle. Pourquoi est-ce que mes yeux s'étaient arrêtés à cette hauteur.? Clifton. Comme un poing au visage. Lui. C'était ma chance. Je devais y aller, le retrouver. Je n'arriverais jamais pleinement à vivre sans lui. Je priais simplement pour qu'il ne soit pas emprisonné à mon arrivée. Une centaine de dollar et quatre jours plus tard, j'atteignis enfin le Nevada, puis rapidement Clifton. Mais une ville c'est loin d'être restreint. Tant d'endroit, de quartier. Ou pouvait-il bien être dans ce torrent de criminalité. J'étais choquée par le détachement des gens. Tout le monde semblait conscient et ne réagissait pas. Mes yeux de princesse enfermée n'en croyaient pas leur cornée! Mais je suis restée, pour Lui. pour le retrouver, comme je l'avais promis il y a maintenant si longtemps déjà.

L'emploi. Quelqu'un d'autre a découvert mon talent, mais ce n'est pas ce que j'espérais de la scène. Ce sont mes chansons qui font vibrer les tympans, mais je ne chante pas. Je mime, ridiculement dans un corsage trop serrer. Je vends mon corps, je me déhanche sur scène pour quelque billet. Oh, rien d'exotique! C'est de la représentation qu'ils disent. Ils sont marocains, bien blindés et ils m'adorent. Lui m'appelle Bijou, mais c'est Cupcake que j'ai choisi comme nom de scène. Peut-être en espérant qu'il me retrouve lui-même. Justement, on cogne à la porte. Alors, assoyez vous et profité du spectacle!.

Spoiler:

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BIENVENUE !! Et bon courage pour ta fiche ;)
Avril première fois que je la vois sur un de mes rpg très bon choix ;)

Dans un premier temps merci de ton inscription et bienvenue parmi nous dans la charmante ville de Clifton. Toute l'équipe de pom. te souhaite un bon courage et tout plein d'inspiration pour ta fiche de présentation.

Nous te rappelons juste quelques règles essentielles..
Tu as désormais 7 jours pour finir ta fiche, dans quel cas nous serons dans l'obligation de supprimer ton compte et de remettre ton avatar en jeu. Sauf bien entendu si tu nous préviens dans la partie adéquate, c'est à dire absences
Nous te rappelons également qu'un excellent niveau est demandé sur ce forum. Les 20lignes obligatoires sont en cas de mauvais jours, sois conscient qu'il te faudra dépasser largement les 40lignes de rp.
Il peut arriver que les admins ne soient pas d'accord entre eux sur ce qui est de l'admission d'un membre. Afin de clarifier les choses, et de satisfaire le plus grand nombre de personne, il se peut que nous te demandions de faire un teste RP qui se traitera uniquement par MP. Tu peux bien entendu, le refuser, dans quel cas ta candidature en tant que joueur ne sera pas acceptée.
Et pour finir, ce rpg peut contenir des propos violents et des scènes choquantes. Si tu ne te sens pas capable d'accepter ou de supporter ça, merci de nous le signaler ^^



à bientôt

p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m

Bienvenue !
Ouais super choix, ça change :)

Bienvenue mon Monkeyy

Hâte de RP une nouvelle fois avec toi =p

Officiellement bienvenue ! Ta fiche a été lue et tu es désormais des nôtres ! Voilà ce qui a été dit en résumé :


Citation :
L'histoire tient la route et pas de faute majeur ;)

N'oublies pas d'aller te créer, ici, tout ce dont tu as besoin. Tu peux aussi aller jeter un coup d'œil dans la galerie si tu recherches un avatar, ou même passer commande pour en avoir un personnalisé. N'hésites pas non plus à venir flooder et créer plein de nouveaux jeux.

Encore une fois bienvenue à POM



bon rp

p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m