Lhassa est peut-être la plus grande ville du Tibet, mais elle reste minuscule comparée aux autres grandes villes du monde. Il n’a qu’une seule ligne de rail qui va dans la capitale du Tibet et il y a très peu de gens intéresser à L’utiliser il reste cependant que le Tibet est un tremplin idéal pour accéder à l’Himalaya. On peut aisément y retrouver des Sherpas et autre matériel pour aller taquiner les montagnes, mais bien sûr les montagnes plus hautes sont encore des labyrinthes mortels pour les explorateurs. Il serait très mal avisé d’essayer de les monter sans des mois de préparations et des années d’expérience. Surtout qu’avec l’hiver environne l’endroit aurait été plus proche d’un piège mortel qu’une montagne.

On donne des qualités très spirituelles au Peuple du Tibet, en fait le pays est pratiquement une théocratie menée par une classe de moine ou on retrouve des pèlerins et des temples partout. Quelqu’un comme Zheng Shan serait donc très à son aise dans un pays fait de dur labeur et de spiritualité, mais pour l’instant le moine est dans un train miteux en direction de la capitale, il vient tout juste de traversé la frontière. C’est un train de marchandises avec un seul wagon pour les passagers qui semble dater d’avant la Première Guerre mondiale. Le manque de luxe ne semblait pas déranger le moine le moins du monde. Il semblait surtout occupé à roupiller, quelque chose de plutôt rare, mais il semblait avoir un œil ouvert d’après un millimètre comme s’il se doutait que quelque chose de mal allait arriver. Bien qu’il avait été engagé comme garde du corps pour Lanie, ce n’était pas très professionnel de sa part de dormir au boulot, mais voilà il avait voyagé presque une journée entière pour arrivé à se bout de pays perdus. Il se disait qu’il pouvait bien dormir un peu puisqu’il était demeuré vigilant pendant une bonne partie du voyage. Il restait plusieurs heures avant qu’il aille réussit à atteindre leur port. On pouvait se demander qu’elle sorte d’entraînement avait bien put avoir durant sa jeunesse pour être si peut affecter par les tremblements du train.

C’était pratiquement un miracle que Shan puisse dormir ainsi, le wagon était d’une qualité si piètre qu’il secouait presque tous les temps, plus qu’une grand-mère atteint du parkinson. Il n’avait rien à manger sinon la bouffe qu’il avait amenée avec eux et cèle pouvait assez facilement s’éparpiller sur sol avec toutes ses secousses. Il avait grignoté un peu de pain, quelques heures dans le voyage, mais c’était tout. IL avait passé un certain moment à examiner les petits personnages qui les accompagnaient dans leurs voyages. Il ne pouvait pas reconnaître le moindre d’entre eux ou voir un signe distinctif d’un gang qu’il connaissait, il ne semblait pas avoir quoique ce soit à craindre jusqu’à ce qu’il atteigne Lhassa. Quoiqu’il avait fait une théorie selon laquelle il était possible qu’en traversant les chaînes de montagnes il soit possible qu’une avalanche leur tombe dessus.