| | ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 04:47 | |
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Quand tu décides d'être quelqu'un, tu peux le devenir. Et ça, ils le disent jamais, à l'Eglise. Quand j'avais ton âge, ils nous disaient qu'on pouvait devenir des flics ou des criminels. Aujourd'hui, écoute bien ce que j'ai à te dire. Quand t'as une arme braquée sur toi, où est la différence ?... FRANCK COSTELLO ▬ LES INFILTRES
Dernière édition par Zanya Da Cruz le 12/19/2009, 04:53, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 04:47 | |
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 04:48 | |
| TRÈS BIEN. SAVEZ-VOUS POURQUOI VOUS ÊTES LA ?
Rien qu'à la manière qu'elle avait de me dévisager en cet instant, je savais d'ores et déjà comme cet entretien allait être aussi long que pénible ; d'accoutumée, je n'aimais déjà pas ces bardés de diplômes qui pensent pouvoir vous apprendre qui vous êtes, mais, ici et maintenant, je détestais cette femme sans même avoir eu à la connaître... seulement parce qu'elle parvenait à me rabaisser de son seul regard posé sur moi. Voilà pourquoi j'eus envie de lui répondre qu'elle pouvait tailler sa question en pointe et se la m... « ...vous allez sûrement me le dire de toute façon, lâchai-je finalement. » Me montrer puérile et condescendante ne mènerait à rien mais, en attendant, cela me permettait de joyeusement réprimer l'envie qui démangeait ma main de lui exprimer toutes ses amitiés de mes phalanges sur sa joue. En outre, comme elle insista en me fixant un peu plus, je savais qu'elle ne me lâcherait pas, exactement comme un précepteur ne lâche pas son élève tant qu'il n'a pas compris la leçon. « Ok, soupirai-je, je vais jouer à votre jeu à la con. Je suis là parce qu'un connard de flic pense que je suis dangereuse pour autrui... dans la mesure où j'ai déjà eu à rencontrer des spécialistes par le passé. Je gagne quoi ? »
Ces histoires sur le passé, vous savez, sur le père qui vous bat ou vous viole et fait de vous un monstre, ou cette mère jalouse ou absente qui vous haït au point que vous finissez par la tuer et tuer toutes les femmes qui lui ressemblent... eh bien, tout ça, c'est du baratin de psychiatre, des conneries pour se trouver des excuses, pour dire à un pédophile que ce n'est pas de sa faute, qu'il ne pouvait pas choisir, qu'il répond à des circonstances, à des causes et qu'il se contente de produire des effets. Et moi, je n'étais absolument pas là pour m'entendre dire que j'étais une pauvre gamine laissée pour compte, se battant depuis vingt quatre ans pour survivre et encore, condamnée à l'échec simplement parce que j'étais née au mauvais endroit, au mauvais moment. Vous avez le droit de ne pas assumer, il y avait des lâches avant vous, il y en aura aussi après. Si bien que lorsqu'elle se mit à aborder la question de mes parents, j'eus tout bonnement envie de me lever de ma chaise et de prendre la porte. Des psy, des assistantes sociales aux psychiatres, j'en avais déjà rencontrés, ils m'avaient déjà dit tout ce que je devais savoir à leur sujet. Pauvre petite fille malheureuse... Rah, pathétique. C'est exactement pour cela que j'ai choisi depuis longtemps que la légalité et la morale n'étaient pas pour moi.
« Mon père ne me battait pas. Ma mère non plus. J'ai pris des gifles comme tout le monde, quand j'en méritais... mes parents n'étaient pas des monstres sanguinaires, et je ne suis pas une psychopathe à tendances psychophage. Rassurée ? » Penses-tu qu'elle se serait contentée de ça ? Cela aurait été trop beau, et j'avais décidemment cessé d'être naïve beaucoup trop tôt.
POUVEZ-VOUS ME DÉCRIRE VOTRE PLUS GRANDE PEUR ?...
La perspective de discuter phobies avec elle ne m'emballait pas outre mesure, vous vous en doutez, et pourtant, je me suis dit qu'à collaborer plus simplement, peut être me laisserait-elle tranquille d'autant plus vite. « Oui. je peux. Mais non, je ne le ferai pas. » Il serait temps de cesser d'être naïfs, les coco... j'ai l'air d'être quelqu'un qui coopère ? C'était aussi probable que de me voir danser le sirtaki en kilt sur le bar du Mad Maker. Certes, ça aurait pu être amusant, mais autant dire que mon interlocutrice le prit avec beaucoup moins d'humour que cela.
« Vous considérez que c'est une faiblesse ? - Il y a sûrement un abruti qui a dit que la peur était une bonne chose. - Oui, admit-elle d'une manière presque condescendante. C'est l'embryon du courage. - Si vous saviez à quoi j'ai donné naissance alors... »
Je ne sais pas si elle s'attendait véritablement à ce que je lui dise que j'avais peur dans le noir, où que les araignées hantaient mes cauchemars les plus obscurs, pour ne citer que ces inepties. Je ne prétendais pas n'avoir peur de rien, je prétendais seulement qu'il aurait été absurde d'en parler à une femme qui ne demandait qu'un débordement pour me mettre sous les verrous. J'étais comme tout le monde, avec mes peurs, ma peur, celle d'être enfermée, d'être contrainte, d'être encerclée par des individus et n'être plus maître de mon destin, de devoir plier, de devoir obéir et d'avancer dans le sens et comme on me le disait. Je faisais plus qu'en avoir peur, je détestais cette perspective... et c'était contre cela que je me battais depuis vingt quatre ans, seule. Alors la psychiatre sur diplômée qui me tirerait cette vérité de la gorge n'était pas encore née.
« Alors vous ne l'admettrez pas ?... que vous avez vaincu quelque chose, la vie ? - A part le système procédural de l'Arizona ? Je vois pas. - Beaucoup de non-lieux, en effet. - Vous avez l'air perplexe, docteur. N'ai-je aucune chance d'être innocente ? »
HUM HUM ... INTÉRESSANT. ET DANS 10 ANS, OU VOUS VOYEZ-VOUS ?
Telle était la partie que je préférais ; après le passé et le présent, l'avenir. Ils ne pouvaient pas s'en empêcher... tous, TOUS, les psy étaient pareils, tout aussi prévisibles, et en même temps si horripilant à chaque fois. C'était à croire, parfois, qu'ils ne parvenaient pas à se mettre dans le crâne que leurs questionnaires bien formels ne disséquaient aucune forme de pathologie quelconque. Il n'était pas né non plus le questionnaire qui m'expliquerait vraiment cette envie démente de coller le canon d'une arme sur les lèvres de Miss-je-me-faisais-mon-prof-de-crim'-à-la-fac. « Dans une boîte en pin, à quelques trois mètres sous terre. A peu près... » Il aurait fallu photographier cet air qu'elle pendit un court instant à ses traits, comme si j'avais tenté, dans l'instant, de mettre fin à mes jours et qu'elle n'avait pu qu'assister tristement à cette scène. Certes, j'aurais pu lui dire qu'on plus grand rêve était bel et bien de devenir Barbie Princesse Raiponce, mais je crois pouvoir dire sans me tromper qu'elle aurait eu quelques peines à me croire... pour une fois, je lui aurais donné raison.
« Vous n'avez aucun projet ? - Ce n'est pas ce que j'ai dit. - Certes, mais vous n'envisagez pas très loin. - Faut dire qu'on n'a pas grandi dans les mêmes rues. »
J'haussai les épaules comme s'il n'y avait rien de plus évident que le fossé entre son existence tranquille dans une grande ville avec certains quartiers bien fréquentés, sécurisés et chaleureux et ma simple existence à Clifton qui, soit dit en passant, me convenait parfaitement, ne me faisant ni honte ni horreur, tout au contraire. J'aimais cette ville, j'aimais la vie que je menais, et je ne l'aurais échangé pour rien au monde... seulement, je me montrais réaliste également, et dans un endroit comme celui-ci, l'espérance de vie de tout le monde tombait très vite, et très tôt, à zéro. Navrée si ça ne correspondait pas au rêve d'un beau mariage, de deux trois enfants, d'un chien, d'une maison avec un jardin, de pique-niques le dimanche après-midi au parc... et vieillir au milieu de petits-enfants adorables. Sincèrement, je crois que mon problème venait du fait d'avoir été élevé comme un homme. Enfin, mon problème était plutôt le problème qu'ils m'avaient trouvé pour expliquer que je puisse mener mon existence comme un homme ; sauf qu'un homme, on ne le lui reprochait pas.
« Vous croyez à la réincarnation, Miss Da Cruz ? - A l'argent, au sang, à l'alcool... et à l'orgasme, ouais, fis-je naturellement, ça compte ? - Hm... (j'eus un léger élan de jubilation en mesurant sa gêne) Vous êtes donc satisfaite de votre vie ? - Plus que vous ne pouvez le mesurer. - Et ça doit passer par la violence ? - Aucun de vos bouquins ne vous explique la violence n'est pas une fin, mais un moyen, hm ? »
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 04:48 | |
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© DOOMSDAY | » surnom de geek ; nyacure » âge ; dix-huit ans » présence sur pom ; quotidienne » comment as-tu connus pom ; euh... partenariat, je crois » avatar choisi ; michelle rodriguez » t'as quelque chose à dire mec ; mec ? allez, rentre chez ta mère, toi... moi qui allais dire du bien de ce forum, ben tiens, compte-là dessus... non, n'insiste pas.
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- Spoiler:
Enfonçant la porte de deux coups de pieds bien placés à la base de la serrure, le Sergent Flaherty gardait son arme parfaitement tenue entre ses doigts. Certaine qu’il n’y avait personne, elle la rangea à sa ceinture, complètement imperturbable.
« Vous n’avez aucun mandat ! »
Relevant la tête, la concernée croisa froidement le regard de son partenaire, toujours aussi abasourdi des méthodes peu conventionnelles qu’elle employait. D’ailleurs, elle arrivait encore, et sans peine, à arborer un air tout à fait serein, comme s’il n’y avait rien eu de plus naturel et de plus légitime. Cela étant, sur l’instant, ce n’était pas la décontraction mais l’agacement qui se dessinait sur ses traits. « Qu’aurais-je fait d’un mandat ? Il ouvre les portes des ghettos ? Non. Alors on range ses procédures d’académicien et on fait à ma manière. » Le jeune agent aurait voulu protester mais elle lui en donna pas l’occasion puisque l’irlandaise s’enfonça un peu dans la sombre tanière qui servait visiblement d’appartement à l’homme qu’ils recherchaient.
Glauque comme c’était peu abordable, ce logement situé au troisième étage ressemblait davantage à une cave qu’à un loft. L’odeur ambiante transpirant la crasse, la poussière et un mélange âcre de sang et de drogues, en était remontée au nez des deux Cops qui utilisaient encore régulièrement la manche de leur veste pour se couvrir le visage. L’air avait presque quelque chose de corrosif. Sans parler de la pauvreté du mobilier, du véritable capharnaüm qu’il existait ça et là et des clichés, de multiples photographies, disséminés et pendus un peu partout, aux yeux et à la portée de tous. La première impression d’Elyh avait été une ironie acérée concernant le soit disant de son propre appartement ; à côté de cet endroit, son trois pièces étaient aussi clean qu’une chambre d’un hôtel quatre étoiles.
« Qu’est-ce qu’on cherche ? » Elyh ne répondit pas, parce qu’elle ne savait pas véritablement. Dans un tel endroit, tout comme rien pouvait être un indice, si ce n’est même une preuve. Elle préférait se concentrer et voir ce qu’il adviendrait. En observant son partenaire, James de son prénom (ce qui ne l’intéressait pas vraiment), l’irlandaise comprit qu’elle avait eu une chance inestimable de ne pas faire sa formation dans le cadre d’une académie ; les jeunes policiers fraîchement sortis de l’école étaient désespérants. Enfilant des gants, James ouvrait systématiquement tous les tiroirs et placards, remuant quelque peu la surface et replaçant tout strictement à sa place - ce qui, pour l’occasion, était inutile vu le degré de rangement initial. A vrai dire, Elyh eut la succincte idée que son partenaire était plus habile pour être un voleur que pour être policier. Et il importait vraiment peu au Sergent Flaherty que leur proie sache ou non qu’ils étaient passés. A l’extrême limite de sa perversité, elle aimait autant qu’il le sache et qu’il commence à se faire à l’idée qu’ils allaient finir par lui tomber, au sens propre comme figuré, dessus.
Un craquement provenant du couloir perturba le cours de ses pensées. Elyh fit volte-face, main à la ceinture, sur la crosse de son arme. Un regard du côté de son partenaire lui prouva qu’il en avait fait tout autant. En s’approchant très lentement de l’embrasure de la porte, l’irlandaise dégaina avec précaution. Son arme se dressa peu à peu jusqu’à ce que son bras soit parfaitement parallèle au sol ; dans cette position, elle se sentait vulnérable, mais l’idée de se mettre bientôt à découvert sans pouvoir servir une salve en guise d’accueil potentiel lui déplaisait fortement. Son avancée ralentit quand elle fût à un pas seulement du couloir. Un regard de biais lui donna une vue panoramique du couloir qui ne lui indiqua aucune présence ; ne croyant ni à Jeanne d’Arc ni à une faute de son instinct, Elyh se lança en faisant un nouveau pas.
Désarmée en moins d’une seconde par l’attaque d’une silhouette informe, elle eut à encaisser trois coups de poings successifs au visage et à l’abdomen. Suffoquant un quart de seconde sous l’effet de surprise, elle se redressa si vivement qu’elle put atteindre son adversaire à l’abdomen et au plexus à l’aide de son genou, avant de le frapper directement à l’arcade alors qu’il était à demi recroquevillé par la douleur. Ce dernier ajustement laissa son ennemi au sol. Passant sa main sur le bord des ses lèvres, Elyh en ôta le sang. « T’as intérêts à frapper plus fort que ça la prochaine fois. »
En quelques secondes, James était sur ses talons, resté en spectateur impuissant tout du long. « Sergent, ça va ? » Sans même le regarder, Elyh lui assura que oui et s’accroupit afin de menotter leur nouvel invité. En fouillant dans la poche du concerné, elle sortit son portefeuille et s’assura de son identité. C’était leur homme. Une aubaine. En tous les cas, quand elle se redressa, ce fût cette satisfaction coutumière qui se discernait sur ses traits. James, lui, semblait beaucoup moins enthousiasme étrangement. « Sauf qu’on n’a rien contre lui. » Relevant le visage vers son partenaire, Elyh se retint de le gifler, quoi que l’envie la démangea fortement. « On a une agression sur un agent des forces de l’ordre. » L’idée d’Elyh, c’était très exactement de trouver divers motifs de garde-à-vue complètement insignifiants pour obtenir le restant ; le plus pénible était donc de mettre la main sur les hommes - et femmes - qu’elle recherchait. « Agent qui s’est rendu coupable d’une violation de domicile. »
Le sang de l’irlandaise ne fit qu’un tour en entendant de tels propos. En quelques instants, elle s’était saisie de James par le col et l’emmenait, lui à reculons, à l’intérieur de l’appartement où elle le plaqua violemment contre un mur, ô combien rongé par des années sans le moindre nettoyage. « Lâchez-moi. » Elle le fit. Mais seulement pour pouvoir le gifler une fois, puis de nouveau. Et, il fallait l’admettre, ses gifles n’étaient pas véritablement celles d’une femme fragile un peu dépassée par les évènements. « Tu vas bien m’écouter, sombre abruti. On ne t’a pas appris dans ton école de décérébrés à ne pas délivrer ses failles à un suspect ? On ne t’a pas dit qu’il fallait triompher du mal et toutes ces conneries, là ? Réponds ! On te l’a dit, oui ou non ? » En menant désormais moins large, James déglutissait péniblement. « Alors la prochaine fois que tu racontes de telles conneries devant MON suspect, je te casse ta petite gueule d’ange avant de t’enfermer dans la même cellule que lui. Compris ? » Après un moment, James répondit par l’affirmative. « Très bien. »
S’écartant finalement en revenant vers la porte, Elyh eut un soupir agacé en découvrant que l’embrasure était vide. Évidemment, défaites-vous d’un idiot, trouvez-en un autre. Hélant son partenaire qui ne se fit pas prier, l’irlandaise le fit descendre par les escaliers. De son côté, elle retourna à l’intérieur de l’appartement et après un bref regard par la fenêtre, l’ouvrit et se glissa à l’extérieur. Dieu merci, le vertige n’était pas un mal pour elle. Sa descente dans les escaliers de secours fût risquée mais rapide et ce fût fièrement sur ses deux jambes qu’elle sauta les deux derniers mètres qui la séparaient du sol. En s’élançant vers la rue, elle vit défiler devant ses yeux son suspect, menottes aux poignets, puis son partenaire. Elle emboîta le pas de ce dernier et força la course.
« Va chercher la voiture. » James ralentit dans sa course en fronçant les sourcils, mais quand il heurta le regard sans équivoque d’Elyh, il prit la rue en sens inverse et s’y rendit. L’irlandaise, elle, de son côté, suivit le tracé hasardeux de sa proie, entre les passants, au tournant d’une rue, puis d’une autre, jusqu’à ce qu’elle gagne du terrain sur lui, aisément. Le fait qu’il fût entravé aux poignets lui était très certainement gênant. En tous les cas, elle eut le plaisir de le remercier de l’avoir fait courir pour si peu et l’attrapa aux épaules avant de le jeter au sol. Un coup de pied dans les côtés bien senti laissa son adversaire tranquille. Du moins, immobile. « J’ai rien à vous dire, putain ! » Tâchant de dissimuler son sourire esquissé au coin des lèvres, et portant son regard sur le bout de la rue où arrivait le véhicule de police banalisé, elle lâcha sa répartie : « Peut être, mais ça ne va pas durer. » James fût bientôt à sa hauteur et descendit du véhicule. « Tu en as mis du temps. » Alors qu’il commençait déjà à baragouiner de vagues excuses au sujet de l’existence fortuite de feux rouges et donc de ralentissements, elle l’arrêta : « Peu importe. Mets-le dans le coffre. » Elle se massa la nuque, juste assez pour se détendre et subir la remarque attendue de son partenaire. « Dans le coffre ? » Le regard qu’elle lui coula le mit au défi de la faire répéter. A contrecœur, James commença à s’exécuter péniblement. Le suspect qui n’avait pas cru jusque-là à ce qui ressemblait vraiment à une plaisanterie commença à s’agiter quand il fût suffisamment prêt du coffre pour sentir l’odeur qu’il renfermait. « Non mais vous déconnez ! Putain, et mes droits ! J’ai des droits ! » Ouvrant la portière du conducteur et se glissant à l’intérieur, on eut juste le temps de saisir sa réponse : [color=darkred]« Ouais, celui de garder le silence. »[/color ]
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» y.o : 25
| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 11:11 | |
| Bienvenue ! Très bon choix d'avatar ^^
J'peux même plus te souhaiter bon courage pour ta fiche, je vois que t'es en bonne voie ! |
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 12:32 | |
| bienvenuep o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m Dans un premier temps merci de ton inscription et bienvenue parmi nous dans la charmante ville de Clifton. Toute l'équipe de pom. te souhaite un bon courage et tout plein d'inspiration pour ta fiche de présentation. Nous te rappelons juste quelques règles essentielles..Tu as désormais 7 jours pour finir ta fiche, dans quel cas nous serons dans l'obligation de supprimer ton compte et de remettre ton avatar en jeu. Sauf bien entendu si tu nous préviens dans la partie adéquate, c'est à dire absencesNous te rappelons également qu'un excellent niveau est demandé sur ce forum. Les 20lignes obligatoires sont en cas de mauvais jours, sois conscient qu'il te faudra dépasser largement les 40lignes de rp. Il peut arriver que les admins ne soient pas d'accord entre eux sur ce qui est de l'admission d'un membre. Afin de clarifier les choses, et de satisfaire le plus grand nombre de personne, il se peut que nous te demandions de faire un test RP qui se traitera uniquement par MP. Tu peux bien entendu, le refuser, dans quel cas ta candidature en tant que joueur ne sera pas acceptée. Et pour finir, ce rpg peut contenir des propos violents et des scènes choquantes. Si tu ne te sens pas capable d'accepter ou de supporter ça, merci de nous le signaler ^^ à bientôtp o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 12:34 | |
| Hey bienvenue !! Et merci d'avoir pris ce perso ;)
J'm'attaque à la lecture ^^ |
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 12:38 | |
| Merci Leah.
Inutile de me remercier... cela faisait longtemps que je n'avais pas incarné une femme, et ce personnage m'allait parfaitement. De mon point de vue, cela dit. J'attendrai donc le verdict (quoi qu'à l'heure où j'ai fait ma présa et l'usage de la première personne, je doute que ce soit représentatif de tout ce que je peux faire).
;)
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 12:57 | |
| Bienvenue! Bon choix d'avatar ^^ Caleb doit être content :) J'allais dire bonne chance pour ta fiche, mais tu as déjà finie, c'est agréable de voir les gens motivés comme ça! On se concerte et on te tient au courant le plus rapidement possible! |
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» y.o : 24ans
| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 13:54 | |
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/19/2009, 16:00 | |
| félicitationp o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m Officiellement bienvenue ! Ta fiche a été lue et tu es désormais des nôtres ! Voilà ce qui a été dit en résumé : - Citation :
- Un personnage bien cerné, comme on la voulait; une bonne qualité d'écriture, autant dans l'orthographe que niveau grammaire -en plus à plus de 2h, rien à dire quoi ^^. Tu l'auras deviné, on t'attend donc en RP à présent ;)
N'oublies pas d'aller te créer, ici, tout ce dont tu as besoin. Tu peux aussi aller jeter un coup d'œil dans la galerie si tu recherches un avatar, ou même passer commande pour en avoir un personnalisé. N'hésites pas non plus à venir flooder et créer plein de nouveaux jeux. Encore une fois bienvenue à POM bon rpp o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m . p o m
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre 12/20/2009, 21:00 | |
| *Absolument pas à la bourre* Tout ça pour dire, bienvenue. J'aime ton personnage, et la façon dont tu le joues ;). |
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| Sujet: Re: ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre | |
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| | | | ZANYA ▬ on ne nous donne rien, c'est à nous de prendre | |
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